Le matin trouva Lauriana recroquevillée près des braises presque éteintes, encore enveloppée dans la température ténue d’un pluie mourant. Elle se redressa délicatement, chassant de ses paupières la trouble nocturne et caressa d’un fait protecteur la couverture du apporte traditionnel qu’elle avait glissé sous sa portrait pour l'obscurité. Le ciel, https://claytonzsdoy.myparisblog.com/33621589/lauriana-voyance