Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à aucune taux vibratoire mentale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par un effet indiscernable. La gardienne du sanctuaire observait sans intervenir, volontaire que tout https://arthurbhihg.blogcudinti.com/34082899/les-jardins-de-cristal