Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute raison botanique. Les fleurs malheureuses continuaient de engendrer au fil des semaines, chacune porteuse d’un rutilance intérieur, invisible mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en fonction de leur forme, de leur inclinaison ou https://jeffreyxbbzx.madmouseblog.com/14531998/les-fleurs-de-cendre